Tinoa Admin
Nombre de messages : 310 Age : 35 Localisation : Dans ma chambre Groupe Favoris : the GazettE, X JAPAN Manga Favoris : Angel Sanctuary Date d'inscription : 27/06/2008
| Sujet: [2006] utagoe Lun 30 Juin - 18:52 | |
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Paroles Hakanakunaki kareyuku semishigure Karawo nugisute setsunasakebu Oshibanano yotsubamitaini yûutsuna shônenni Giratsuku hizashiga katarikaketa
Yasashiiutaga kikoetekonainara utaebaii sôdarô?
Mega kuramuhodoni zettaino taiyô Kogetsuita kagega moeteyuku Ikiru kachimonai yôna sekaiwo aishiteru
Minamoni utsuru aojiroi hikari Tadayoi egaku hikari no sutakkato Sizukani yasumuyôni kagayakiwo awaraseta Chiisana hotaru wa mizue shizumu
Inochimijikashi shinon dôchô Hauringusasete uatô
Ansanburu kakinarasu oretachino shôdô Yûdachino nijiwo hizumasete Istukawa shindenakunachimaunonara Wagamamani gamusharani warae
Taisetsuna monoga waharanai kimiyo Kegarewo shiranu junsuimukuga tôtoidanante usodaro
Mega kuramuhodoni zettaino taiyô Kogetsuita kagega moeteyuku Ikiru kachimonai yôna sekaiwo aishiteru Ansanburu kakinarasu oretachino shôdô Sakebukoemo kokoromo karerumade hachigatsuno sorani kiehateta semishigure nukegarawo nokoshite
TakasugirusoraTraduction Elles se dessèchent disparaissent en vain, les cigales qui chantent sous la pluie Elle abandonnent leurs chrysalides et crient dans le silence Sur un jeune homme, unique comme un trèfle à quatre feuilles dans les herbes sauvages Un rayon de soileil s'est planté
Si l'on n'entend pas de chanson douce, on n'a qu'à la chanter soi même, pas vrai ?
Un soleil absolu brûle la rétine Les ombres noircies se consument J'aime ce monde où il ne sert à rien de vivre
La lumière bleutée qui se reflète à la surface de l'eau Un staccato sur les dessins de lumière qui flottent Le scintillement s'est éteint pour que nous dormions tranquillement Les petites lucioles disparaissent dans l'onde
La vie est courte, faisons rugir nos battements de coeur à l'unisson
Ensemble, notre implusion dessine et rectifie Craquelons l'arc-en-ciel après l'orage Si un jour on arrête de mourir Rions violemment de nos caprices
Toi qui ne comprends pas ce qui est précieux L'innocence immaculée, étrangère à la souillure, serait noble... C'est une blague ?
Un soleil absolu brûle la rétine Les ombres noircies se consument j'aime ce monde où il ne sert à rien de vivre Ensemble, notre impulsion dessine et rectifie jusqu'à ce que nos voix et nos coeur hurlants se craquellent Cigales sous la pluie, disparues dans le ciel d'août, laissant leurs chrysalides
Vers ce ciel lointain | |
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